Текст и слова песни Offenbach – Les Eaux Qui Dorment
Ils m'ont trop dit qu'j'étais trop bête
Cest sûrement signe que j'ai raison
Tout c'que j'veux faire c'est continuer d'faire à ma tête
Pis d'penser oui quand ils disent non...
Mais ils n'aiment pas
Les gueules de bois
Les gens qui s'taisent
Créent un malaise
Y savent comment faire leur affaire
À ceux qui parlent sans s'arrêter
Y essayent jamais de les faire taire, ben au contraire
Y font semblant d'les écouter
Mais ils ont peur
Des yeux moqueurs
Les eaux qui dorment
Les impressionnent
Ils m'ont trop dit qu'j'étais trop bête
C'est à leur tour de deviner
Si mon silence cache la bêtise ou la tempête
Pis c'est pas moi qui les aiderai...
Mais ils n'osent pas
Chercher c'qu'il y a
Au fond d'nos yeux...
Sont trop peureux.
Cest sûrement signe que j'ai raison
Tout c'que j'veux faire c'est continuer d'faire à ma tête
Pis d'penser oui quand ils disent non...
Mais ils n'aiment pas
Les gueules de bois
Les gens qui s'taisent
Créent un malaise
Y savent comment faire leur affaire
À ceux qui parlent sans s'arrêter
Y essayent jamais de les faire taire, ben au contraire
Y font semblant d'les écouter
Mais ils ont peur
Des yeux moqueurs
Les eaux qui dorment
Les impressionnent
Ils m'ont trop dit qu'j'étais trop bête
C'est à leur tour de deviner
Si mon silence cache la bêtise ou la tempête
Pis c'est pas moi qui les aiderai...
Mais ils n'osent pas
Chercher c'qu'il y a
Au fond d'nos yeux...
Sont trop peureux.
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